La peut s’installe sur Marseille

La peur s'installe sur Marseille

La peur s’installe sur Marseille

Marseille, avenue de Saint-Antoine. Il est bientôt 21 heures. Une grosse cylindrée roule lentement. A hauteur de la Caisse d’Epargne, elle s’arrête soudain, en double file, phares éteints, seuls les feux de stationnement restant visibles. Le véhicule aux vitres teintées va rester là, immobile, pendant quelques minutes. Un peu plus loin, à moins de 100 mètres, le bar tabacs de la C… se prépare à fermer ses portes. A cette heure tardive, seuls quelques rares habitués sont encore présents à l’intérieur de l’établissement. A un moment donné, un homme sort du café, traverse la rue, emprunte le trottoir d’en face et se dirige visiblement vers son véhicule garé à faible distance de la place Canovas. Tout à coup, la grosse voiture démarre en trombe, et un passager du véhicule, vitre baissée sort un fusil d’assaut, genre Kalachnikov en ouvrant le feu sur le client du bar. Ce dernier a juste le temps de se coucher pour se protéger derrière la file de véhicules en stationnement. Mais le tueur semble avoir raté sa cible. La grosse voiture entreprend à toute vitesse une marche arrière, mais à cet instant précis, un bus se dirigeant vers la Viste vient contrer sa manœuvre, ce qui provoque le départ fulgurant de la puissante cylindrée. L’homme visé vient d’avoir une chance inouïe. Il échappe de peu à la mort et très certainement effrayé, s’enfuit dans une rue où il s’évanouit dans la pénombre du soir.

Voilà un exemple de ce qu’il se passe presque tous les jours à Marseille. Cette fois, par miracle, le meurtre a échoué. Mais demain que se passera-t-il ?

Selon les statistiques officielles et le journal La Provence, la ville de Marseille a connu un assassinat tous les 15 jours depuis le début de l’année 2012, ce qui correspond exactement à 24 personnes tuées sur fond de banditisme, sans oublier la dernière exécution en date d’un chauffeur de car scolaire abattu froidement ce lundi matin vers 8 h 30 par de jeunes voyous dans une brasserie de Mazargues pour quelques euros seulement.

Inutile de vous dire que la peur s’installe à Marseille, un peu partout.

C’est une constatation que chacun peut faire facilement à tout instant de la journée : N’importe où, et n’importe quand, des coups de feu peuvent éclater entre bandes rivales qui s’opposent dans la violence, ou tout simplement à l’intérieur d’un magasin pour un vulgaire vol de caisse ou de marchandises.

Les règlements de compte fleurissent en plein jour : vous êtes au restaurant ou à la terrasse d’un café, et soudain, une fusillade vient semer la terreur parmi les consommateurs et à travers la foule. Personnes blessées ou tuées, les victimes ont eu hélas la grande malchance de se trouver par hasard dans un lieu précis à un mauvais moment.

Comment enrayer une telle violence ?

Marseille devient peu à peu le Chicago des années 1900-1930.

Après une longue période de pègre où la cité phocéenne était contrôlée par les caïds d’un époque, Joseph Marini, Paul Carbone, François Spirito ou encore les frères Guérini, la ville redevint calme et l’apaisement gagna largement tous les marseillais qui se délectaient de vivre dans un lieu magique où bonne humeur, galéjades, boules et pastis accompagnent le superbe soleil méditerranéen.

Mais depuis une vingtaine d’années, la situation a bien changé. Si Marseille est devenue une très belle ville par sa réhabilitation et sa modernisation, elle souffre à nouveau d’une nouvelle délinquance qui envahit la plupart des banlieues et tout spécialement les quartiers Nord.

Surpopulation, chômage, pauvreté, précarité sont des facteurs incontournables d’une délinquance grandissante et d’une puissante criminalité.

Les trafics de drogue et d’armes qui se sont largement développés au cours des dix dernières années représentent aujourd’hui une impressionnante économie souterraine que l’on ne pourra jamais stopper.

Les truands sont très bien implantés et les bandes de voyous s’agrandissent chaque jour, se constituant d’éléments de plus en plus jeunes (dans les cités de la Savine et de Bassens par exemple, la délinquance commence à 11 ans …).

L’argent facile, les grosses voitures, et la grande vie sont les seuls objectifs d’une jeunesse qui n’a aucune envie de respecter les règles d’une société qu’elle rejette globalement.

Alors, l’énorme travail des associations et des travailleurs sociaux ne servira pas à grand chose. Quant à la police ou la gendarmerie, ses moyens sont devenus ridicules à l’heure actuelle, face à des individus très bien équipés en armes et en matériel d’attaque ; ces nouveaux truands n’ont aucune ligne de conduite et n’hésitent plus à tuer n’importe qui à n’importe quel moment, dès l’instant où une quelconque résistance s’impose à eux.

Premières conclusions

Marseille subit les pires violences. Les banlieues de l’Île de France sont également touchées. Mais le grand banditisme se s’arrêtera pas à ces régions. Déjà, il commence à se développer dans d’autres agglomérations françaises et touchera certainement d’ici 4 à 5 ans la plupart des petites villes de notre territoire.

La France est gangrenée. Notre jeunesse en subira un jour les graves conséquences. Mais, dans un temps très proche, c’est la République qui risque de basculer dans le désordre et l’anarchie. A titre d’exemple, je citerai les événements qui se sont déroulés au début de la Seconde Guerre Mondiale. A l’époque, la montée en puissance des extrémistes est très forte. La France capitulant devant l’Allemagne, l’Etat de Vichy s’installe le 10 juillet 1940, remplaçant le gouvernement républicain. Et le nouveau régime du Maréchal Pétain va s’imposer jusqu’au 20 août 1944 avec essentiellement pour alliés véritables des individus très nombreux et sans scrupule issus de la pègre et du grand banditisme.

En clair, la guerre des gangs qui dégénérera un jour ou l’autre en conflit civil de rue, chassera la République.

Pierre-Alain Reynaud et Eric Antoine Laugier

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Cette vérité que réclame le peuple …

Jean Jaurès

Jean Jaurès

Les politiques sont-ils des gens courageux ? A dire vrai, ils sont très peu nombreux à se montrer énergiques, volontaires et honnêtes.

Par définition, les politiciens utilisent très souvent le langage de bois, afin de se détourner des véritables problèmes qui jalonnent à chaque époque notre société.

Avec la crise que nous connaissons depuis 2008, ce défaut s’est accentué au niveau de la classe politique, que ce soit à droite ou à gauche. Et au moment de la campagne des élections présidentielles, aucun candidat à l’exception de François Bayrou, n’a soulevé les graves difficultés qui attendaient la France. En tête du mirage politique, François Hollande, alors candidat à l’Elysée qui faisait de grandes promesses en ignorant les méfaits de la dette publique et les dangers d’une économie moribonde. Elu président, l’ancien premier secrétaire du PS est devenu beaucoup plus prudent, évitant de parler clairement du marasme qui ronge gravement le Pays.

Ainsi, aujourd’hui encore, malgré le chômage qui ne fait qu’augmenter, malgré les souffrances que subissent un grand nombre de nos citoyens, François Hollande, comme son Premier Ministre Jean-Marc Ayrault, persistent à ne pas dire la VÉRITÉ au peuple de France ; alors que la majorité de nos compatriotes souhaite que le gouvernement fasse la clarté sur l’avenir de la France …

Décidément, le Président Hollande oublie les valeurs fondamentales de l’une des plus grandes personnalités socialistes du 20 ème siècle, Jean Jaurès.

Ce grand homme qui repose depuis 1924 au Panthéon avait toujours fait preuve d’une clarté politique, chose rare chez les élus de la Nation. Orateur de talent, généreux, persévérant, inébranlable, il fut toujours à la tête des mouvements sociaux pour défendre les travailleurs au cours de toute son existence. Pacifiste incontournable, son opposition à la Première Guerre Mondiale lui coûta la vie lorsque à Paris, le 31 juillet 1914, il fut abattu au Café du Croissant par un étudiant nationaliste.

« Le courage, c’est de chercher la vérité et de la dire » avait-il déclaré lors de l’un de ses nombreux discours restés à jamais dans la mémoire collective.

Cette phrase trop souvent oubliée devrait devenir un repère dans la vie politique. Hélas, à l’heure actuelle, nos élus ne font plus référence au courage et à la vérité. C’est plutôt la faiblesse ou le mensonge qui dominent dans le débat public.

Pierre-Alain Reynaud

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Manuel Valls, une énergie qui s’affiche

Manuel Valls, Ministre de l'Intérieur

Manuel Valls, Ministre de l’Intérieur

Si le Président François Hollande et son Premier Ministre Jean-Marc Ayrault démontrent leurs grandes difficultés à gouverner la Nation, Manuel Valls Ministre de l’Intérieur bien au contraire, affiche de sérieuses qualités de dirigeant responsable dans la lutte qu’il vient d’engager dans les milieux islamistes.

Il est clair aujourd’hui que l’Islam radical et révolutionnaire se développe partout en France, et en particulier dans les cités et dans les banlieues, foyers puissants d’un courant de pensée musulman, essentiellement politique faut-il le reconnaître : ici, la religion a perdu tout son sens, et les idéologies avancées par les terroristes en puissance représentent une manipulation de l’Islam afin de transformer le système politique et social d’un Etat en une nouvelle puissance islamiste. En quelque sorte, certains individus détournent les doctrines religieuses pour construire un régime fondé sur la religion, instaurant ainsi une véritable théocratie.

C’est ainsi qu’est né au 20ème siècle l’islamisme dont l’expansion prend depuis ces dernières années des dimensions importantes, pouvant entraîner à court ou à moyen terme la disparition de la plupart de nos valeurs.

Examinons un scénario devenu possible demain : La France est une république laïque et démocratique. Aujourd’hui, elle est très fragilisée par une économie défaillante, un chômage croissant, et des thèmes républicains mis largement en cause par certains élus politiques et de trop nombreuses associations irresponsables en marge d’une démocratie saine et raisonnée.

Dans un tel contexte, il est possible que d’ici quelques années, la république française s’effondre devant des mouvements issus de l’Islam dont le but essentiel se dessine dans la prise du pouvoir, que ce soit au niveau national ou local. Il est facile de constater notamment dans la région parisienne comme dans les cités Nord de Marseille, la montée en puissance d’islamistes radicaux (notamment les salafistes) qui prêchent via les mosquées officielles ou tout autre lieu de culte parfois clandestin, afin de rassembler de nouveaux militants et de constituer un front révolutionnaire dont les actions occuperont un jour ou l’autre le devant de la scène.

Ainsi, devant ce danger qui se profile à l’horizon chaque jour un peu plus, Manuel Valls réagit en bon ministre de l’Intérieur, voulant « casser » certaines cellules islamistes, véritables niches d’un terrorisme international. Certes, l’Islam de France ne doit pas être contesté et n’est donc pas contestable. Mais inévitablement il faut faire un « tri » ciblé pour éviter le chaos de nos sociétés : si nous avons le devoir de respecter les droits de la religion musulmane qui a totalement sa place dans notre Pays, nous devons par contre combattre avec détermination tous les mouvements d’individus qui souhaitent la disparition des droits fondamentaux de la démocratie.

Il faut donc soutenir largement les actions du Ministre de l’Intérieur et lui demander d’aller encore bien plus loin dans le combat engagé contre ceux qui mettent en péril notre histoire, notre République et notre proche avenir. Ainsi, quand la France est en péril, les français doivent se comporter en patriotes engagés. Aujourd’hui, la Nation est menacée et chacun de nous porte la responsabilité de la protéger : c’est-à-dire protéger nos familles, nos parents, nos amis, nos voisins, mais aussi protéger les générations futures. C’est notre devoir actuel de citoyen, et sur ce point essentiel, Monsieur Valls vient de nous tracer le chemin de la raison et de l’avenir de notre Pays.

Pierre-Alain Reynaud

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Les cocus du 6 mai

François Hollande trompe ses électeurs

François Hollande trompe ses électeurs

Le changement, c’est maintenant ! Et nous allons en profiter pleinement … si un grand miracle se produit. Mais croyez-vous aux miracles ? François Hollande nous avait promis la lune ? Où est-elle aujourd’hui ? Certains l’ont cru au moment des élections, et d’autres persistent aujourd’hui en prétendant que le gouvernement socialiste va panser les douloureuses plaies de la France.

Mais soyons sérieux. Il est extrêmement clair que les 100 jours du Président Hollande relèvent plus d’un échec que de tout autre chose. Même si plusieurs médias certainement grassement payés par la caisse noire de l’Elysée chantent tout haut la réussite du nouveau Chef de l’Etat.

Qu’ils sont loin déjà l’enthousiasme et le dynamisme du candidat François Hollande lors de son grand meeting du Bourget le 22 janvier 2012 : en ce début d’année, il était surprenant de découvrir un présidentiable quasiment méconnaissable et dévoré par une énergie, une volonté et un charisme que personne ne pouvait soupçonner. Il est vrai qu’à cet instant, l’ancien premier secrétaire du PS inondait de rêves le petit peuple des chaumières, les oubliés de la République, et les citoyens avides de justice et de partage.

Personnellement, je me souviens d’avoir rencontré lors de mes visites au cœur de la France profonde, un petit couple de retraités totalement hypnotisé par le phénomène Hollande, jusqu’à avoir tapissé leur couloir et leur salle à manger de photos représentant le « Grand François, sauveur de la France sarkozyste » (claire comparaison avec la dictature de l’Espagne franquiste !!!…)

Et le couple dont je vous parle représentait l’un des milliers d’exemples que j’ai pu connaître pendant toute la période qui précéda les 22 avril et 6 mai 2012.

Cet engouement se développa chez de très nombreux citoyens de toutes classes sociales, et notamment chez les jeunes, les enseignants, les cadres, et les seniors qui voyaient en François Hollande, l’espoir de la gauche et l’avenir de la Nation. Une ferveur qui ressemblait à celle vécue le 10 mai 1981 lors de la victoire de François Mitterrand.

Malgré la crise, la fête s’installa et se propagea jusqu’au fin fond des provinces qui votèrent massivement pour une assemblée nationale socialiste le 17 juin dernier.

Le bonheur est alors visible quasiment partout, dans les villes, la rue et même dans le pré !

Il est clair que la France va se transformer pour réinstaurer une république « irréprochable » et digne de ce nom.

Seulement, aujourd’hui, la situation se ternit très rapidement. Evidemment, à cause de la faillite financière qui frappe l’Europe, et à ce niveau, faut-il l’admettre, le pouvoir socialiste ne peut être mis en cause. Il faut régler les problèmes, et chacun sait que les grandes difficultés ne peuvent pas se solutionner en quelques jours. Quel que soit le gouvernement en place, c’est un travail de longue haleine qui l’attend pour redresser une situation devenue très inquiétante.

Allons, soyons optimistes et gardons espoir : Vous verrez qu’au fil du temps tout va pouvoir s’arranger ! Et il est vrai que la France est capable de réussir un pari formidable comme elle l’a fait déjà dans le passé : reconstruire son économie, et se positionner dans le Monde comme ce fut le cas dans les années 60 avec l’arrivée du Général de Gaulle.

Seulement, voilà ! De Gaulle était un homme d’exception, et François Hollande ne lui ressemble aucunement.

Les illusions socialistes fondent rapidement, et François Hollande perd toute sa superbe et se dégonfle peu à peu comme une … baudruche !

L’effet doping du 22 janvier 2012 cesse maintenant et rend le Président français à son état naturel : indécis, confus, fluctuant, ambigu, mou, timoré, imprécis, pour ne citer que ces quelques mots.

François Hollande revient aujourd’hui le « petit François Hollande » des années 90, et à partir de cet instant, la France a tout à perdre… et rien à gagner.

Dommage que DSK ait fait de grosses « bêtises » qui l’ont rejeté de la vie politique. Il aurait été certainement un bon président de la République, très capable et ambitieux pour son Pays.

En attendant, je plains volontiers les COCUS du 6 mai qui ne se remettront jamais de cette grosse tromperie, aux aspects carnavalesques.

Pierre-Alain Reynaud

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L’inévitable faillite socialiste : Une fin annoncée de la République ?

Francois-Hollande et Jean-Marc-Ayrault

Francois-Hollande et Jean-Marc-Ayrault

Je suis républicain, et comme tel, je m’indigne de ce qui se passe en France aujourd’hui.

Comme de nombreux pays de la planète, notre Nation subit de plein fouet la crise mondiale à laquelle viennent s’ajouter les douloureux chaos de l’Europe dûs aux faillites de la Grèce et de l’Espagne.

La dette de la France est considérable, et il est extrêmement urgent de mettre un terme à cette dérive qui n’a que trop durer. Comme tant d’autres Etats, les caisses sont vides et la question est de savoir comme les renflouer.

Avant tout, il faut considérer que la dette de la France est surtout … la dette des citoyens ! C’est-à-dire la mienne, la vôtre, celle de vos parents, celle de vos amis, de vos voisins, etc … etc…

De toute manière, il est très clair que d’une manière ou d’une autre, ce sera aux citoyens à rembourser cette dette, qu’ils soient riches ou pauvres, et malheur aux plus fragiles qui se retrouveront encore plus démunis que ce qu’ils le sont aujourd’hui.

Le parti socialiste, et plus généralement la gauche, sont en train de nous mentir avec un tel cynisme que l’on a peine à imaginer. Et même le Président Hollande que l’on pouvait considérer jusqu’à ces derniers temps comme un homme « honnête » se complet maintenant dans une indécence qui n’est pas digne d’un Chef d’Etat.

Dans ce contexte, l’indignation est au cœur de chacun de nous quand on sait pertinemment que le nouveau gouvernement va entraîner le Pays dans une folle tempête dont personne ne pourra sortir indemne.

D’autant plus que parallèlement à cette déplorable gestion annoncée, la déraison de la gauche glissant vers une amoralité déplorable pour notre jeunesse, va faire plonger notre Nation dans la « culture de l’inertie, de l’assistance et de l’oisiveté réunies ». Autrement dit, la fin de la société française ne fait que commencer.

Je m’indigne donc contre le gouvernement Ayrault qui va sombrer dans un programme de dépenses inconsidérées en créant notamment des postes dans la fonction publique, inutiles pour la plupart.

Je m’indigne contre ce même gouvernement qui va engager une contre réforme des retraites à priori largement désastreuse. Et si Nicolas Sarkozy n’a pas été toujours à la hauteur de ses missions au cours de son quinquenat, il a entrepris toutefois avec succès cette réforme devenue indispensable, afin que chaque citoyen puisse maintenir un minimum de pouvoir d’achat jusqu’à la fin de ses jours.

Le projet socialiste allant à contre courant du gouvernement Fillon va donc coûter une FORTUNE à la Nation et donc à chacun de nos citoyens qui seront une fois de plus contraints à « se serrer la ceinture ».

Je m’indigne contre la légalisation du cannabis proposée par l’ancien ministre socialiste Daniel Vaillant qui pousse le gouvernement actuel à prendre cette décision. Personne n’ignore que le cannabis est dangereux et il est inconcevable que cette drogue entre en toute légalité dans la vie de nos compatriotes.

Je m’indigne également contre la dépénalisation de ce même cannabis avancée par Cécile Duflot, actuelle ministre du Logement. Si l’on considère que le trafic et l’utilisation de stupéfiants n’est plus un délit, on étendre cette règle à tout autre acte malhonnête, contravention, infraction, méfait ou violation de la loi.

Je m’indigne encore contre le mariage homosexuel qui est contraire à la logique des sexes et totalement discordante dne part avec les valeurs humaines de nos sociétés et d’autre part, avec les principes moraux sur lesquels sont établies toutes les religions du Monde.

Comme je l’ai déjà dit, il est nécessaire qu’un statut officiel soit établi au profit des couples homosexuels, mais cette condition doit être limitée à une union citoyenne, et non à un mariage qui reste l’union légitime d’un homme et d’une femme.

Je m’indigne de même, contre le projet de loi de Madame Taubira, nouvelle garde des Sceaux qui consiste à supprimer les tribunaux correctionnels pour les mineurs, et donc encourager largement une délinquance croissante depuis quelques années.

Je m’indigne pareillement contre une gauche laxiste qui favorise l’indiscipline citoyenne et installe l’incurie à l’intérieur de notre Pays.

Je m’indigne enfin contre un Parti socialiste qui fait le jeu de l’extrême gauche en s’alliant avec Jean-Luc Mélenchon, l’aventureux chef de file d’un communisme ressuscité, lequel Monsieur Mélenchon et ses amis entraîneront la France un jour ou l’autre dans le discrédit international, avilissant la Nation française comme jamais elle ne l’a été depuis la Seconde Guerre Mondiale.

Ainsi, à force de donner de mauvais coups à la finance indispensable pour le développement des entreprise, à la moralité qui disparaît peu à peu de notre société, à l’identité nationale chère à nos citoyens, et au développement de nos valeurs qui ont fait la grandeur de la France pendant des siècles, le Parti Socialiste et ses alliés de Gauche vont faire basculer la France dans un tel chaos que la République ne s’en relèvera plus

La République décapitée, ce sera la porte ouverte aux extrêmistes de droite ou de gauche qui se traduira systématiquement par un pouvoir dictatorial.

Dés maintenant, stoppons immédiatement l’incendie qui menace notre avenir et celui des générations futures.

Comme par le passé, àplusieurs reprises dans notre Histoire nationale, la Patrie est à nouveau en danger ! Prenons-en largement conscience !

Pierre-Alain Reynaud

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Les droits de l’enfant dans la société du 21 ème siècle

Droits de l'Enfant

Droits de l'Enfant

Chaque jour, on parle très souvent des droits de l’Homme (ce terme englobant l’humanité en général), et parallèlement les débats se tournent périodiquement aussi sur les droits du citoyen, comme sur les droits de la femme dans la société.

Ces nombreuses discussions restent sans cesse au cœur de l’actualité et l’on ne peut que se réjouir des progrès réels qui se dessinent sans cesse à l’horizon pour améliorer la justice sociale et diverses logiques touchant les individus de tous pays et de toutes races.

Cependant, les grands oubliés de ce Monde sont en général les enfants, même si l’Unicef s’efforce à chaque instant d’améliorer leur sort.

Nous reviendrons prochainement sur des sujets brûlants concernant l’enfance et tout spécialement sur la justice des mineurs qui n’est adaptée ni à leur âge, ni à leur avenir dans l’environnement du 21 ème siècle.

Aujourd’hui, nous nous arrêterons sur la représentation des enfants dans la société qui reste quasiment inexistante, les adultes occultant tout dialogue possible pour prendre les grandes décisions qui s’imposent.

Les jeunes (à l’exception toutefois de ceux dont la tranche d’âge est inférieure à 10 ans, encore peu aptes en raison de leur âge à s’inviter dans les débats), doivent participer à la vie citoyenne d’une manière officielle pour être entendus par tous nos dirigeants politiques et nos responsables publics. C’est-à-dire que tous les mineurs devraient être mieux écoutés et plus compris dans leur vie comme dans leurs aspirations d’enfant ou d’adolescent.

Il est clair que les adultes, malgré leur sincère volonté et leur énergie, ne peuvent pas toujours comprendre ce que ressent aujourd’hui une jeunesse souvent perturbée par une société en perpétuelle mutation où les crises économiques et sociales viennent largement ébranler les familles les plus fragiles.

Ainsi, l’esprit républicain nous invite à la méditation et à la réflexion.

Dans un tel contexte,il est temps de donner aux jeunes d’aujourd’hui, tous les moyens pour s’exprimer librement, ressources qui leur permettront d’une part, de mieux s’insérer dans le quotidien , et d’autre part de se préparer à la vie citoyenne.

Voici donc un bref résumé des projets de réformes dont pourraient profiter dans l’avenir tous les enfants et adolescents.

Lire la suite de l’article en cliquant sur le lien ci-dessous :

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Pierre-Alain Reynaud

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Marie-Arlette Carlotti : le jack pot ministériel

Marie-Arlette Carlotti

Marie-Arlette Carlotti

A Marseille, tout le monde connaît Marie-Arlette Carlotti, enfin … presque et surtout les socialistes !

Conseillère générale des Bouches-du-Rhône (canton de Marseille-Cinq-Avenues) et simultanément vice-présidente du Conseil Général de ce même département, ancienne députée européenne (poste obtenu à la faveur d’une démission), Madame Carlotti a fait son petit bonhomme de chemin derrière les grands « pontes » du PS marseillais et notamment dans l’ombre de Jean-Noël Guérini, ce dernier aujourd’hui en marge du Parti socialiste, suite à l’affaire politico-financière (dite « affaire Guérini ») où il sera mis en en examen pour prise illégale d’intérêts, trafic d’influence et association de malfaiteurs.

Comme toutes les personnes qui font de la politique dite « professionnelle », Marie-Arlette Carlotti a longtemps rêvé d’entrer à l’Assemblée Nationale, mais deux lourds échecs aux législatives en 2002 et en 2007 l’empêchent de devenir députée des Bouches-du-R hône.

Opportuniste à souhait, elle navigue d’une personnalité à l’autre, de Martine Aubry à Hollande, en passant par Bertrand Delanoë et Michel Vauzelle, pour ne citer que les principaux. Et quand le vent souffle contre Jean-Noël Guérini, elle n’hésite pas à accabler celui qu’elle a souvent soutenu, notamment lors des municipales à Marseille en 2008.

Beaucoup de titres, mais peu d’actions sur le terrain, même si Madame Carlotti est considérée par certains comme énergique et fonçeuse. Dans les faits, elle est destinée à jouer un rôle politique local qui ne dépasse guère les frontières marseillaises. Elle le sait parfaitement et admet cette destinée politique assez limitée, quand soudain … le téléphone sonne.

Incroyable mais vrai, au bout du fil la voix de François Hollande. Est-ce bien lui ou un individu qui lui ferait une mauvaise plaisanterie ? Il est vrai qu’en novembre 2011, elle a intégré l’équipe de campagne du candidat socialiste aux présidentielles. Mais ils étaient si nombreux à ce moment-là à vouloir prendre le train hollandiste !…

Non, c’est bien François Hollande en personne qui est bien en ligne et qui lui propose gentiment le poste de ministre déléguée auprès du minitère de la Santé, en charge des personnes handicapées au sein du gouvernement Ayrault. Bien évidemment, Madame Carlotti accepte sans aucune hésitation ce « GROS LOT » auquel elle n’aurait jamais cru voici peu de temps encore.

De quoi faire grogner de nombreux prétendants et prétendantes qui nourrissaient de grands espoirs au soir du 6 mai et qui ont vite vu leurs illusions … perdues !

Aussi, la petite Marie-Arlette en perd vite son latin, et ne comprend même pas ce qui lui arrive ! D’ailleurs, comme elle-même, personne ne parvient à comprendre cette fulgurante promotion : ni à Paris, ni en province, et encore moins à Marseille où sa notoriété n’atteint pas de grands sommets.

Et complètement dépassée par les évènements, elle ne se rend pas compte de l’importance de son ministère et des grandes responsabilités qui l’attendent : Seuls points de préoccupation, sa future voiture de fonction et ses rapports avec le chauffeur qui lui conduira d’un point à un autre. Et je n’exagère rien sur des détails puisque quiconque regardait les infos à la télé a pu voir et revoir en passage en boucle, les émotions et les petits soucis matériels de Madame Carlotti.

Avouons simplement que tout cela tourne un peu à la dérision et que l’on a bien envie de rire … Cependant, il est inquiétant de constater la nomination à un portefeuille de ministre, d’une personne qui ne semble guère avoir le sens des réalités, et dont les compétences par ailleurs, restent encore à prouver.

Mais ne soyons pas méchants ! Bon courage à Madame Carlotti qui vient de prendre ses nouvelles fonctions et bon chance !

Sans oublier non plus de souhaiter également un bon courage et une bonne chance aux personnes handicapées qui en ont bien besoin !!!

Pierre-Alain Reynaud

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