L’inévitable faillite socialiste : Une fin annoncée de la République ?

Francois-Hollande et Jean-Marc-Ayrault

Francois-Hollande et Jean-Marc-Ayrault

Je suis républicain, et comme tel, je m’indigne de ce qui se passe en France aujourd’hui.

Comme de nombreux pays de la planète, notre Nation subit de plein fouet la crise mondiale à laquelle viennent s’ajouter les douloureux chaos de l’Europe dûs aux faillites de la Grèce et de l’Espagne.

La dette de la France est considérable, et il est extrêmement urgent de mettre un terme à cette dérive qui n’a que trop durer. Comme tant d’autres Etats, les caisses sont vides et la question est de savoir comme les renflouer.

Avant tout, il faut considérer que la dette de la France est surtout … la dette des citoyens ! C’est-à-dire la mienne, la vôtre, celle de vos parents, celle de vos amis, de vos voisins, etc … etc…

De toute manière, il est très clair que d’une manière ou d’une autre, ce sera aux citoyens à rembourser cette dette, qu’ils soient riches ou pauvres, et malheur aux plus fragiles qui se retrouveront encore plus démunis que ce qu’ils le sont aujourd’hui.

Le parti socialiste, et plus généralement la gauche, sont en train de nous mentir avec un tel cynisme que l’on a peine à imaginer. Et même le Président Hollande que l’on pouvait considérer jusqu’à ces derniers temps comme un homme « honnête » se complet maintenant dans une indécence qui n’est pas digne d’un Chef d’Etat.

Dans ce contexte, l’indignation est au cœur de chacun de nous quand on sait pertinemment que le nouveau gouvernement va entraîner le Pays dans une folle tempête dont personne ne pourra sortir indemne.

D’autant plus que parallèlement à cette déplorable gestion annoncée, la déraison de la gauche glissant vers une amoralité déplorable pour notre jeunesse, va faire plonger notre Nation dans la « culture de l’inertie, de l’assistance et de l’oisiveté réunies ». Autrement dit, la fin de la société française ne fait que commencer.

Je m’indigne donc contre le gouvernement Ayrault qui va sombrer dans un programme de dépenses inconsidérées en créant notamment des postes dans la fonction publique, inutiles pour la plupart.

Je m’indigne contre ce même gouvernement qui va engager une contre réforme des retraites à priori largement désastreuse. Et si Nicolas Sarkozy n’a pas été toujours à la hauteur de ses missions au cours de son quinquenat, il a entrepris toutefois avec succès cette réforme devenue indispensable, afin que chaque citoyen puisse maintenir un minimum de pouvoir d’achat jusqu’à la fin de ses jours.

Le projet socialiste allant à contre courant du gouvernement Fillon va donc coûter une FORTUNE à la Nation et donc à chacun de nos citoyens qui seront une fois de plus contraints à « se serrer la ceinture ».

Je m’indigne contre la légalisation du cannabis proposée par l’ancien ministre socialiste Daniel Vaillant qui pousse le gouvernement actuel à prendre cette décision. Personne n’ignore que le cannabis est dangereux et il est inconcevable que cette drogue entre en toute légalité dans la vie de nos compatriotes.

Je m’indigne également contre la dépénalisation de ce même cannabis avancée par Cécile Duflot, actuelle ministre du Logement. Si l’on considère que le trafic et l’utilisation de stupéfiants n’est plus un délit, on étendre cette règle à tout autre acte malhonnête, contravention, infraction, méfait ou violation de la loi.

Je m’indigne encore contre le mariage homosexuel qui est contraire à la logique des sexes et totalement discordante dne part avec les valeurs humaines de nos sociétés et d’autre part, avec les principes moraux sur lesquels sont établies toutes les religions du Monde.

Comme je l’ai déjà dit, il est nécessaire qu’un statut officiel soit établi au profit des couples homosexuels, mais cette condition doit être limitée à une union citoyenne, et non à un mariage qui reste l’union légitime d’un homme et d’une femme.

Je m’indigne de même, contre le projet de loi de Madame Taubira, nouvelle garde des Sceaux qui consiste à supprimer les tribunaux correctionnels pour les mineurs, et donc encourager largement une délinquance croissante depuis quelques années.

Je m’indigne pareillement contre une gauche laxiste qui favorise l’indiscipline citoyenne et installe l’incurie à l’intérieur de notre Pays.

Je m’indigne enfin contre un Parti socialiste qui fait le jeu de l’extrême gauche en s’alliant avec Jean-Luc Mélenchon, l’aventureux chef de file d’un communisme ressuscité, lequel Monsieur Mélenchon et ses amis entraîneront la France un jour ou l’autre dans le discrédit international, avilissant la Nation française comme jamais elle ne l’a été depuis la Seconde Guerre Mondiale.

Ainsi, à force de donner de mauvais coups à la finance indispensable pour le développement des entreprise, à la moralité qui disparaît peu à peu de notre société, à l’identité nationale chère à nos citoyens, et au développement de nos valeurs qui ont fait la grandeur de la France pendant des siècles, le Parti Socialiste et ses alliés de Gauche vont faire basculer la France dans un tel chaos que la République ne s’en relèvera plus

La République décapitée, ce sera la porte ouverte aux extrêmistes de droite ou de gauche qui se traduira systématiquement par un pouvoir dictatorial.

Dés maintenant, stoppons immédiatement l’incendie qui menace notre avenir et celui des générations futures.

Comme par le passé, àplusieurs reprises dans notre Histoire nationale, la Patrie est à nouveau en danger ! Prenons-en largement conscience !

Pierre-Alain Reynaud

Site internet : www.pierre-alain-reynaud.com

Mail : cafe.republicain@gmail.com


Le déni de la rigueur

Le déni de la rigueur

Le déni de la rigueur

Je ne suis pas le seul à le dire, et beaucoup de compatriotes le constatent un peu plus chaque jour. Déjà voici quelques mois, l’éminent éditorialiste du Point, Franz-Olivier Giesbert écrivait que les français n’avaient aucunement l’envie de prêter l’oreille à un discours de vérité. Il avait raison, et je le rejoins très largement sur ce dossier en regardant ce qui se passe depuis plusieurs semaines.

Bien que l’on ait dit souvent que la campagne de la Présidentielle était ennuyeuse, il y avait cependant des discours de candidats très intéressants. Entre autres, j’ai retenu celui de François Bayrou qui a décrit tout au long de ses interventions, la gravité de la situation et les mesures qu’il fallait prendre pour endiguer les difficultés présentes. Même constat pour celui de Nicolas Dupont-Aignan ou de Jacques Cheminade, tous deux parfaitement conscients des problèmes qui plombent la Nation, lesquels candidats ont apporté assez clairement leurs idées et leurs méthodes.

Résultats des courses : François Bayrou 9,13 %, Nicolas Dupont-Aignan 1,79 %, Jacques Cheminade 0,25%.

Ces trois candidats sont restés quasiment inaudibles dans leurs allocutions, et si le Président du Modem a fait toutefois un score honorable (bien que relativement faible), ce n’est pas à cause de ses projets, mais simplement en raison de la notoriété dont il jouit depuis longtemps.

En résumé, faut-il le dire sans détours, la vérité ne plaît pas aux français. Sans doute, parce qu’ils « vivent depuis longtemps dans une bulle où on les entretient et d’où ils ne veulent sortir sous aucun prétexte », selon les propres termes de FOG.

La bulle citée par Franz-Olivier Giesbert est celle qui convient parfaitement à un certain nombre de citoyens : beaucoup de droits mais peu d’obligations, souvent de très bons salaires, 35 heures de travail hebdomadaire plus les RTT, un train de vie important qui s’affiche autour de nous et au final personne ne pourra contester mes propos quand on regarde dans la rue les signes extérieurs de grande aisance (pour ne pas dire un autre mot) d’un grande nombre de français : villa de standing, résidence secondaire, voitures de luxe (entre 35 et 70.000 euros en moyenne), vacances d’hiver à la montagne, voyages coûteux aux fins fonds de la planète, etc … etc …

Bien évidemment, ces privilégiés de la société française pratiquent le déni de la rigueur, et c’est sans doute pour cela qu’ils ont voté Nicolas Sarkozy ou François Hollande avec une préférence pour ce dernier, le candidat socialiste ayant eu l’intelligence extrême tout au long de sa campagne, d’éviter le plus possible de parler de crise et de solutions réelles. Un discours qui a plu à la classe sociale française dont je viens de vous parler.

Alors m’opposerez-vous, il existe pourtant des citoyens qui souffrent dans ce Pays … Manifestement, je le sais bien ! Ce sont les sans-grade, les ouvriers, les petits commerçants ou artisans ou encore les petits retraités, sans oublier les exclus de la société. Mais ceux-là n’ont choisi ni Monsieur Sarkozy, ni Monsieur Hollande. Ils survivent tant bien que mal à leur misère, en silence.

En fait, la France a perdu le sens des réalités, et notre nation vit totalement dans un monde virtuel. Les français vivent volontiers dans un enfumage général provoqué par le système politique, qu’il soit de droite ou de gauche, avec l’appui plus ou moins conscient des élites, des médias et même des intellectuels.

Mais de toute manière, et quel que soit le Président qui sera élu le 6 mai prochain il faudra bien revenir le lendemain aux réalités du moment, c’est-à-dire essentiellement payer la lourde note et les arriérés du Pays, et à cet instant-là, chaque citoyen, d’une manière ou d’une autre, devra mettre la main à la poche … inévitablement !

Et croyez-moi, ni la droite ni la gauche ne pourront faire les cadeaux annoncés, et encore moins ceux qui prétendent encore aujourd’hui relancer la croissance en créant par exemple une multitude d’emplois publics comme nous l’attendons quotidiennement.

Quel non-sens et quel désastre de plus pour la France de demain et pour nos enfants !

Pierre-Alain Reynaud

Site internet : www.pierre-alain-reynaud.com

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Le billet grinçant de Pierre-Alain Reynaud

Le billet grinçant de Pierre-Alain Reynaud

La France a voté pour la « gauche molle »

Elections présidentielles 2012

Elections présidentielles 2012

Le message est clair et sans appel : Nicolas Sarkozy (27,1 %) a été devancé par François Hollande (28,6 %).

Le résultat de ce premier tour de l’élection présidentielle est significatif : les français veulent le changement et rompre avec une politique qui n’est plus adaptée aux souhaits des citoyens.

Cette situation serait simple et facilement acceptable si le candidat du PS était crédible dans son programme. Dans de telles conditions, je serais même le premier à faire campagne en sa faveur.

Hélas, le projet socialiste est très vague, et le pire, c’est l’ignorance du déficit public que les amis de Monsieur Hollande cautionnent sans aucune réflexion, afin de tenir évidemment les promesses excessives faites auprès des électeurs.

Alors que va-t-il se passer ?

Si François Hollande est élu, – je l’ai dit déjà et le redis encore – la France déjà en très mauvais état, s’écroulera après l’été, avec une faillite annoncée avant la fin de l’année.

Nous serons alors exactement dans la situation de la Grèce ou de l’Espagne.

Les français voient-ils ce naufrage ? J’ai l’impression de vivre les dernières heures du Titanic où le commandement du navire laissait supposer aux passagers que « tout allait bien » et « qu’il ne fallait pas sombrer dans une panique inutile ». Vous connaissez la suite …

Le vrai problème s’inscrit dans l’inconscience de certains électeurs et de certaines électrices qui ne voient pas – ou qui ne veulent pas voir – le drame que nous allons vivre si le candidat socialiste entre à l’Elysée.

Ainsi, les fonctionnaires (qui votent souvent à gauche), sont-ils prêts à accepter la diminution de leur salaire de 30 à 50 % comme cela s’est produit en Grèce ? Un exemple parmi tant d’autres que l’on pourrait citer …

C’est ce qui risque d’arriver aux français s’ils ne se soumettent pas à un moment donné à la rigueur et à une certaine austérité, complètement refusées par la gauche qui du reste n’a aucun des réalités.

Le Monde est en crise, et nous devons assumer. Les priorités sons les suivantes :

  • Réduire les déficits publics,

  • Relancer la croissance par la création d’emplois dans le secteur privé.

  • Protéger nos entreprises, protéger nos acquis, protéger les plus faibles et les plus démunis.

Mais il faut éviter à tout prix les comportements dispendieux prévus par le Parti Socialiste.

En évidence, s’il faut changer la politique actuelle pour une politique plus dynamique et surtout plus sociale, il ne faut pas non plus faire n’importe quoi à n’importe quel moment.

A vrai dire, je n’ai pas un grand désir de voir à nouveau Nicolas Sarkozy au pouvoir. Mais je n’ai pas envie du tout de l’arrivée de François Hollande qui serait à mon sens une catastrophe nationale.

Le vote du 22 avril doit être un avertissement sérieux envers le Président sortant. Et peut-être a-t-il entendu hier soir (et nous le souhaitons) le mécontentement de la France qui veut aujourd’hui le rétablissement des équilibres entre la finance et le citoyen.

La France a donc besoin d’une énergie nouvelle pour le présent et pour son avenir.

Le redressement de la Nation ne pourra se faire qu’avec la volonté de faire la politique de la « table rase » et de reconstruire sur les cinq prochaines années une république démocratique et ambitieuse.

Aujourd’hui, il existe deux gauches :

  • la gauche « dure » celle de Mélenchon, de Nathalie Arthaud ou de Philippe Poutou. Certes, elle a ses défauts et ses utopies, mais quelque part, elle est crédible et réaliste. Mais elle sera absente du second tour …

  • À côté, la gauche « molle », celle de François Hollande, de Laurent Fabius, de Manuel Valls, de Martine Aubry et j’en passe … De cette gauche, la France n’en veut plus et nous n’avons aucunement le souhait de retrouver bientôt le même type de gouvernement que nous avons connu du temps de Lionel Jospin.

En résumé, attendons maintenant les jours prochains qui nous permettront d’éclaicir les vraies réformes que chacun des deux finalistes nous proposent, s’ils veulent bien mieux nous éclairer évidemment.

Le 6 mai, il restera donc trois possibilités :

  • soit conforter le vote envers François Hollande,

  • soit réélire Nicolas Sarkozy,

  • soit voter BLANC.

A chacun de réfléchir, d’analyser, de comprendre et au final de décider.

Pierre-Alain Reynaud – Economiste au Café Républicain

site internet : www.pierre-alain-reynaud.com

mail : cafe.republicain@gmail.com

Eté 2012 : la France en faillite

La Nation est en fin de course. C’est la première fois sous la Cinquième République que les élections présidentielles ne dégagent que si peu d’espoir : si faible du côté de Nicolas Sarkozy, illusoire chez François Hollande, et utopique du côté de Marine Le Pen et de Jean-Luc Mélenchon. Et pour François Bayrou, comme par le passé, il n’arrive pas à convaincre …

La France en faillite

La France en faillite

Déjà en 2006, deux ouvrages forts intéressants portant sur la faillite de notre Pays couvraient les rayons des librairies : l’un écrit par Rémi Godeau, « La France en faillite » présentait une analyse très technique et fort précise ; l’autre plus romancé mais non moins captivant, co-écrit par Philippe Jaffrès (ex PDG de Elf) et Philippe Riès sous le titre « Le jour à la France a fait faillite » était une fiction extrêmement proche de la situation d’aujourd’hui.

A l’époque, ces deux livres semblaient être encore loin d’une réalité devenue à cette heure bien présente. Mais les années passant, et toute chose ayant une fin, nous arrivons maintenant aux termes d’une situation qui empire depuis 1981, date d’arrivée au pouvoir de la gauche avec l’élection de François Mitterrand : non pas qu’il faut mettre en accusation les socialistes et leurs alliés de tous les maux, la droite n’ayant pas mieux fait, et en particulier Jacques Chirac qui s’est enfermé pendant douze ans dans un immobilisme affligeant.

Quant à Nicolas Sarkozy, faut-il le constater, il a été l’héritier d’une situation catastrophique et il n’est donc pas responsable de tout ce qu’on lui reproche : la critique qu’on peut lui faire est de n’avoir pas dit « la vérité aux français » alors que la Nation se trouvait dans une situation lamentable. C’est vraiment dommage et fortement regrettable. Mais il est clair qu’il est toujours délicat pour un politique de faire des annonces négatives, alors que les citoyens se complaisent volontiers dans l’insouciance ou l’indifférence.

Quoi qu’il en soit, le nouveau Président de la République sera confronté dès son arrivée au pouvoir aux plus graves problèmes connus par la France depuis 1958, date de la faillite socialiste aux affaires de la France, avec l’instabilité économique d’une part, et la guerre d’Algérie d’autre part.

C’est le 29 mai 1958 que René Coty alors Président de la République fait appel au Général de Gaulle pour redresser la Nation absolument coincée dans une impasse totale.

En bref, voici les principaux évènements qui vont conduire dans les prochaines semaines la France au chaos :

Mai 2012

Nouvelle dégradation de la France (et d’autres pays de la zone euro) par les agences de notation suivie d’une violente offensive des marchés.

Cette fois-ci, la dégradation est plus importante, entraînant au cours de l’été un gigantesque désordre financier.

Si François Hollande est élu Président de la République, il ne sera plus en mesure de tenir ses engagements, notamment par exemple de créer 60.000 postes d’enseignants et d’augmenter de 25 % les allocations de rentrée scolaire.

Mais si le candidat socialiste veut maintenir ses promesses électorales, il sera contraint (malgré lui!) d’emprunter à un taux très élevé (plus de 6 % dans le meilleur des cas) , ce qui entraînera obligatoirement une catastrophe financière.

Septembre 2012

D’une façon générale, et depuis de longues années, la rentrée pose toujours certains problèmes sociaux (grèves, revendications sociales, etc …). Cette année, le plus mauvais est à attendre, quelque soit le président élu.

Cependant le pire surgira immédiatement si la gauche accède au pouvoir. Parmi les fléaux les plus douloureux, figureront spécialement :

  • la fuite accélérée des capitaux annoncée depuis décembre 2011.

  • l’effondrement de l’activité économique avec de nouvelles fermetures d’entreprises en cascade.

Ainsi, à partir du mois de juillet, le taux de chômeurs va augmenter de 1,5 à 1,8 % avec une annonce de taux record entre 4 à 5 % au 31 décembre 2012.

Novembre 2012

Nouvelle offensive des marchés financiers contre la France (notamment). Comme la Grèce précédemment, le Pays connait de grosses difficultés financières pour payer des fonctionnaires. Le gouvernement en place envisage même de diminuer leur salaire.

Décembre 2012

La fin de l’année est extrêmement pessimiste.

Les manifestations, les émeutes de rues, les révoltes font partie du quotidien. Le pillage de certains magasins en cette période de fêtes de Noël et de Nouvel An devient courant, en particulier dans les grandes villes et dans les banlieues.

La faillite de la France est en marche.

Je ne vais pas m’attarder sur d’autres faits désastreux qui vont occuper les esprits pendant une longue période de 6 à 8 mois au cours de l’année 2013.

Par contre, vers la fin de cette même année, la situation devrait se stabiliser et même devenir plus calme.

Mais pour rétablir un Etat de droit conforme aux intérêts des citoyens, seul un gouvernement de salut public sera possible pour la France et pour les français.

Pierre-Alain Reynaud – économiste

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